Nous voilà enfin arrivé à notre point de rendez vous. C’était notre premier rencart et j’étais nerveux à cette idée. Je voulais la connaitre encore plus de ce que je sais d’elle. Je voulais être quelqu’un d’important à ses yeux. Je voulais être celui qui serait auprès d’elle toute sa vie. Celui qui la réconforterait. Celui qui la supporterait. Je voulais être… bien plus qu’un ami. J’ouvre la porte du bar, la laissant entré la première. Je nous trouve une table à l’écart des gens, dans le fond de la salle. Je lui tire sa chaise et je m’installe sur la mienne. Je lui souris, le regard brillant. Elle était magnifique habillé ainsi. Je lui tends ma main et j’attrape la sienne qu’elle avait posé à l’instant sur la table. Tu as faim ou tu prendras juste quelque chose à boire? Je caresse sa main avec mon pouce, trouvant sa peau si douce. L’éclairage de la salle était tamisé et dégageait une ambiance apaisante. La musique qui en sortait des hauts parleurs, était douce. Je fredonne la chanson, alors qu’il y avait longtemps que je n’avais pas écouté de musique. Je crois que je vais passer la plus belle soirée de ma vie.

Je souris, trouvant cela mignon qu’elle n’a jamais essayer ce genre de repas. Elle me semblait excitée comme une enfant qui va recevoir une surprise à l’instant. Je prends le menu et le regarde aussi. Hum… j’avoue qu’un bon hamburger serait bien. De mon coté, j’en avais pas mangé depuis longtemps. Au faite, depuis que je suis la propriété de ce château. Je regarde mon amie. Moi aussi j’en ai envie, avec un bon grand coca. Je repose mon menu, alors que le serveur vient prendre nos commandes. J’avais hâte de passer cette magnifique soirée avec elle. Et quand le serveur fut repartie, je pouvais enfin lui répondre. Personnellement, je n’ai pas de coup de feu, je ne voie pas pourquoi toi tu en aurais un, t’es une chasseuse, on a plus de droits que les élèves. Je souris en coin. On ira ou tu voudras après le repas si tu veux. J’avance ma main sur la table, pour aller chercher la sienne et entrelacer mes doigts.

Je l’écoute, ne touchant pas à mon plat pour le moment. J’en savais un tout petit peu plus sur elle. Je souris en coin et une fois qu’elle a fini, elle s’assoit sur moi. Je lui rends son baiser et je l’entour de mes bras à ses hanches. Moi aussi je n’avais jamais eu personne, aucune famille. Je me suis toujours considérer comme un objet. Elle et moi, on est fait pour être ensemble. Dans le fond, toi et moi on est pareille. Ne l’oublie jamais. Rien ne pourra nous séparer. Toi et moi, si ça te fait peur, on peut y aller avec douceur, car, je suis ton ami et… je veux être plus qu’un ami. Je souris, même si déjà on est plus que des amis. Je l’embrasse amoureusement cette fois si. Je la laisse retourner à sa place et nous commençons à manger. Je pique une frite dans son assiette, pour la lui mettre entre les dents. Je ris, je souris et je la regarde amoureusement. Tu vas changer ma vie et en mieux. Nous ne serons plus jamais seuls. Nous vivons maintenant, pour nous deux. Je me relève un peu pour caresser sa joue.

J’adorais cette soirée avec elle, elle était magnifique, je ne me suis jamais senti aussi bien de toute ma vie. J’appréciais Carlia, même que je l’adorais, pour bien plus qu’être qu’un simple ami à ses yeux. Mais une chose à la fois, une étape à la fois. Alors oui, je suis d’accord pour quitter ce restaurant et aller ailleurs. Je paie le repas et elle me guide à l’extérieur du restaurant. Elle ne lâche pas ma main, même que je la sers plus dans la mienne, comme ci je ne voulais plus la perdre, plus jamais. Je plonge mon regard dans le sien et je lui souris. Oh, je n’ai pas d’endroit spécifique ou j’aimerais aller. Je veux juste être seul avec toi, là où il n’y a personne. Je connais un champ de fleurs pas très loin, ça te dis ? Je rougis, au moment de déposer un baiser sur sa tendre joue. Je caresse sa main de mon pouce et je commence la marche vers le champ de fleurs sans attendre sa réponse. Je voulais qu’on soit seul, bien et tranquille. Je voulais en apprendre plus sur elle, même si elle m’en a déjà dit beaucoup.

J’ai toujours adoré ce champ, pour la simple raison que j’y suis en paix quand j’y viens. Je voyais dans ses yeux cette envie d’être là et d’être en paix avec moi. La beauté des lucioles donnait un air apaisant sur nous. Je m’étends à ses cotés. Coucher ainsi, personne ne pouvait nous voir ni assis ni debout. Nous étions entièrement caché par les fleurs. Je regarde mon amie. Je vis au château depuis si longtemps. Je viens ici quand ils commencent à m’énerver là bas. Je peux y passer des heures à penser à une meilleure vie pour moi. Je n’ai jamais eu de famille. Et un jour, j’ai bien l’intention d’en fonder une, quand le moment sera venu. Les fleurs m’aident à me calmer. Je suis un peu hyperactif mentalement. Je la regarde, posant ma main sur sa joue que je caresse du bout des doigts. Ta peau est si douce, tu es si belle. Je dépose un baiser sur son front avant de me reculer et de rougir pleinement du à mes paroles et mon acte.