Aujourd'hui était un jour plutôt particulier. Marion c'était levai avec l'idée de passer une journée calme et reposante sans se prendre la tête ou s'attirer des problèmes. Cette journée était à graver dans le marbre pour les gardiens qui commençaient à ne plus savoir ou donner de la tête avec elle. La vampire leur donnaient beaucoup de mal seul deux gardiens arrivaient à la calmer de temps à autre, mais même pour le gardien Hunt et le gardien Jones la tâche n'était pas simple. Ce matin Marion se leva avec l'envie de ne rien faire et d'offrir une journée de repos à tout le monde. Elle partit en cours sens en sécher un seul de la matinée, ne c'était pas fait remarquer en classe et avait même décidée de participer en cours. Un début de matinée bien trop calme pour le personnel de l'académie qui se demandait ce qu'elle pouvait bien préparer.

Midi sonna et c'était l'heure d'aller au réfectoire pour manger. Bien entendu la vampire si rendit pour faire acte de présence et grignoter deux, trois truc avec son amie Rose, mais comme vous le savez, nul besoin de manger pour elle tout ce dont elle avait besoin était de sang. A la fin du repas elle partie voir une source pour s'alimenter en sang frais. La cloche sonna pour indiquer la reprise des cours de l'après-midi. Marion ne reprenait les cours que vers 15h30 ce qui lui laissait du temps libre pour vaquer à ses occupations. Notre vampire décida de profiter du soleil et partit s'installer sur un petit muret dans la cour pour faire quelque esquisse. Adosser au mur elle était au calme seul quelque élèves passaient de temps à autre, mais le silence était des plus agréable. Marion aperçut au loin un gardien qu'elle connaissait bien et ne put s'empêcher de lui sourire avant de retourner à son art. Cela la fit sourire de voir que tout le monde l’observaient méfiant ce demandant quand est ce qu’elle allait péter les plombs, mais rien. Elle ne fit absolument rien enfin ça c’était ce qu’elle avait prévue à la base.

Malheureusement le calme de dura pas. Une petite bande de débile avaient décidés d’embêter une jeune fille  qui n’avait rien demandée à personne. Marion resta dans son coin en et essayait de se concentrer, mais garda tout de même une oreille attentive à ce qu’ils se disaient.

Pourquoi faut-il toujours que quelque chose ou actuellement quelqu'un vient gâcher les efforts que vous fournissez ? Aujourd'hui Marion avait décidée de se faire oublier et de ne pas s'attirer d'ennuis, mais cette bande de petits cons allaient venir gâcher tous ses efforts. Bien que la vampire écoutait ce qu'il se passait un peu plus loin, elle ne pouvait s'empêcher de jeter un coup d'oeil de temps à autre. Décider à ne pas s'en mêler plus le temps passer plus il lui était dur de se retenir d'arracher la langue de cette petite troupe de crétin. Elle ferma les yeux pour reprendre son calme et se remémora quelque vieux souvenir. Cette jeune chasseuse qui n'avait par ailleurs rien d'une chasseuse, mais plutôt d'un petit oiseau perdu lui rappela celle qu'elle était au début de sa vie de vampire.

Son père était un des vampires les plus crains du monde de la nuit et les autres vampires le respectaient dû à sa richesse, mais aussi à son âge et sa grande réputation d'être sans pitié. Lorsque Marion fut transformée, au début il n'était pas facile pour elle de se faire une place dans ce monde. Tout le monde pensait qu'elle n'était pas digne de porter le nom de son père et qu'elle ne serait jamais la vampire capable de succéder au grand James Croft. Beaucoup de vampires la regardaient de haut et la méprisaient, mais un jour Marion les fit taire à jamais. Pour cela lors d'une grande fête bourgeoise de l'époque, elle choisie deux vampires qui avaient la langue bien pendu et arracha le cœur de l'un puis elle enfonça ce cœur dans la gorge de l'autre. Face à ce spectacle des plus horribles, plus personne ne la sous-estima. Elle fut reconnue à sa juste valeur et fit sa place dans le monde de la nuit.

- Personne ne t'aime ici ! s'écrit une fille. Pourquoi est-ce que tu restes ? Va-t'en ! Les chasseurs ne sont pas les bienvenus !

Ces mots la sortie de ses pensées et la mit hors d'elle. Comment avaient-ils le droit de dire ça ? Même si elle ne portait pas les chasseurs dans son cœur en aucun cas ils n'étaient les bienvenues ici. Surtout avec les événements de ses derniers temps. Beaucoup d'élèves étaient ici à cause des darkangels et si cette école fut construite c'était pour tout le monde y compris les chasseurs.

- Tu veux prendre un bain, chasseuse puante ?!

Lorsque qu'elle entendit la jeune fille tomber dans cette fontaine cela était de trop et la vampire ne put se retenir d'intervenir. Le plus dur allait d'être de se contrôler pour ne pas les tuer, chose qu'elle avait très envie de faire. Marion se leva à toute vitesse pour se mettre entre eux et la fille avant de projeter contre un mur l'idiot qui avait osé lui faire ça.

- Vue l'odeur puante que vous dégagez bande de chien allez donc vous faire toiletter avant de venir emmerder le monde.

Elle dit ça de façon calme, mais très froide avec un regard glacial. C'était le genre de ton qui veut dire « si tu l'ouvres, je te tue ». Marion avait senti que c'est gens étaient des loups et s'il y a bien une espèce qu'elle déteste c'était bien eux. Notre vampire pris la jeune fille dans ses bras pour la sortir de la fontaine et la reposa au sol.

- Est-ce que tu vas bien ? Tien mets ça.

Marion retira sa veste en cuire avant de lui mettre sur les épaules avant qu'elle attrape  froid. Elle regarda la jeune chasseuse un peu inquiète et oublia cette bande d'ingrat qui était encore là.

Lorsqu'elle posa sa veste sur les épaules de la jeune demoiselle. Celle-ci la remercia en murmurant. Marion l'avait très bien écouté, car les oreilles des vampires sont plus sensibles au son que l'oreille humaine. Elle lui adressa un sourire pour la mettre à l'aise et lui faire comprendre qu'elle ne risquait plus rien. Quand leurs mains se touchaient, c'est le choque. Une vague de chaleur l'envahie à la vitesse d'un éclaire. Cette sensation lui traversa tout le corps. Elle n'avait jamais ressentis cela avec personne pourtant, dieu sait combien de chasseurs notre vampire à déjà affrontait, mais au grand jamais elle n'avait ressentie cela. Que ce passe-t-il ? Marion regarda la chasseuse droit dans les yeux pour essayer de comprendre ce qu'il se passait, mais vue son regard ahurie, elle aussi ne devait pas comprend ce qu'il se passait.

Ces agresseurs c'étaient mis en retrait, mais ne les lâchaient pas du regarde comme tout le monde qui se trouvaient dans la cour à vrais dire. Nous devions être l'attraction du moment. Marion sentait bien son malaise et ne perdit pas une seconde pour lui répondre sur un ton des plus amical.

- Les ennuis je m'en attire tous les jours alors je ne suis pas à ça près. Et puis justement aujourd'hui il ne m'était encore rien arrivé alors merci.

Marion lui fit un clin d'œil et voulut l'appeler par son prénom, mais réalisa qu'elle ne le connaissait toujours pas.

- Moi c'est Marion Croft et toi ?

Elle lui tendit la main pour la saluer.
Cette jeune fille qui semblait être un petit oiseau perdu lui toucha le coeur chose très, mais alors très rare pour notre vampire qui d'ordinaire et sans coeur. C'est surement pour cela qu'autant de gens l'aient regardé. D'ordinaire Marion ne fait pas attention aux petits nouveaux et va encore moins à leurs défenses Cette attitude devait en étonner plus d'un, mais cela elle s'en fichait.
Une légère brise les effleura et la vampire aperçut que la chasseuse avait les points serraient, surement dû à la foule qui les observaient. D'une elle devait être gelée et de deux les regards des gens sur elle ne lui plaisait pas vraiment. Marion se retourna et s'adressa à la foule en y imposant sa force.
Alors que la plupart des élèves obéis sans rechigner, un des agresseurs eu l'idée stupide de lui répondre et de plus en se marrant.

- Pourquoi on irait en cours alors que toi tu y vas jamais !

Marion le fixa du regard avec l'envie de lui arracher la langue.

- Dégage d'ici avant que je t'arrache la tête microbe.

Il ne répondit pas. Notre vampire regarda la chasseuse morte de froid et lui adressa la parole avec une voie très douce.

-Viens on va se mettre sous le préau tu auras moins froid là-bas.

La cour était entourée d'un couloir qui servait de préau où les élèves circulaient de temps en temps pour aller en cours, mais aussi pour rester à l'abri lors d'averse.

Une fois assise sur le banc j'observai la jeune femme avec attention. Elle me rappelait tant de souvenir. J'avais du mal à comprendre comment une chasseuse pouvait se laisser marcher dessus comme cela. D'ordinaire ils ne sont pas très pacifiste et on tendance à partir au cas de tour, alors pourquoi n'a-t-elle rien fait ? Cette question trottée dans mon esprit depuis le début, mais aucune réponse ne me vient à l'esprit.

Carlia Petrova. C'est un joli nom. Nombreuse sont les familles de chasseur, mais je n'avais encore jamais entendu parler des Petrova. Qui était-elle ? D'où elle venait ? Cette jeune fille était une véritable énigme pour moi et je ressentais le besoin de tout savoir d'elle. Surtout depuis que cette sensation étrange m'avais envahie lorsque nos nous sommes touchés. J'avais le sentiment d'être comme lié à elle sent en connaître les raisons.

Elle me remercia d'être intervenue et m'expliqua que j'étais la première personne à se soucier d'elle depuis longtemps.

- Tu n'as pas besoin de me remercia Carlia c'était un plaisir de t'aider, mais je prends note que tu m'en dois une.

Je lui sourie et lui fit un petit client d'oeil. Je posai mes avant bras sur mes cuisse et réfléchis quelque instant à quelque chose avant de tourner ma tête vers elle.

- Je peux te poser une question ? Pourquoi tu ne t'es pas défendu ?

J'espérais qu'elle puisse éclairer ma lanterne, car je ne trouvais aucune réponse à cette question. Cette fille était une énigme que j'étais bien décidé à résoudre.

Son rire était des plus agréables. C’était comme un rayon de soleil dans l’obscurité de ce monde. Lorsqu’elle était près de moi je me sentais plus calme, plus posé, plus sereine. Toute la rage que je garde en moi avait le don de disparaitre lorsque j’entendais sa voie. J’ignorais comment elle arrivait à provoquer une tel chose sur moi, mais c’était loin de mis déplaire.

- C'est la colère et la rage qui nous transforme. Jamais je ne laisserais de telles émotions guider mon comportement.

Cette phrase résonnait dans ma tête. Elle lutait pour ne pas devenir comme tous ces chasseurs aveuglaient par la rage et l’envie de tuer. Cela expliquait beaucoup de chose sur elle et surtout pourquoi elle n’avait eu aucune réaction face à ses agresseurs. Les chasseurs et les vampires se détestent depuis toujours, mais pourtant nous nous ressemblons bien plus que nous le pensons. Tout comme eux lors de notre transformation en créature de la nuit notre instinct de tueur fait surface. Certains d’entre nous essaient de lutter, mais peut y arrive.  J’ai été élevé par un vampire pendant plus de dix avant qu’il décide de me transformer alors j’imagine que mon comportement avait déjà bien changé avant même ma transformation. Contrairement à Carlia la rage et la colère était devenue des émotions que je rencontrais tous les jours et même si j’avoue qu’elles me sont bien utile quelque fois mais j’aimerais ressentir autre chose.

- C’est bien joli de croire en l’avenir de l’humanité, mais de quel avenir parles-tu ? Aujourd’hui moi je ne sais même pas si nous aurons un avenir. Regarde en face les darkangels ont peux être réussi à nous réunir sous un même toit mais le jour ou tout cela sera fini tout recommencera car même ici dans cette école les conflits perdure malgré les apparences.

Je me levai du banc et partie regarder l’horizon en pensant à l’avenir. J’avais vécu bien des années pour m’apercevoir que le monde dans lequel on vie et remplis de malheurs, de souffrance et de conflit. L’expérience m’avait appris que même si nous survivons à cette menace, les rancœurs ne disparaîtront jamais. L’académie avait permis de mettre de côté cette haine entre nos différente espèces, mais je suis persuadé que quand tout sera fini nous recommencerons à nous crêper le chignon.

- Mais bon personne ne peut d’écrire à quoi ressemblera l’avenir.

Ce que Carlia disais était très beau et plutôt touchant, mais je suis du genre borner et je ne crois que ce que je vois donc seul le temps pourra véritablement me faire changer d’avis sur la ma vision de l’avenir.
Pour être honnête en ce moment, bien que je ne le montre peut être pas je ne voie que la mort face à moi. Depuis la mort de mon père une seul chose pourrai me permettre d’avancer et c’était de tuer ceux qui mon arracher la seul personne qui compté à mes yeux. Il n’y avait aucun doute j’étais destiner sois à mourir au combat sois à survire et donc uniquement à cette instant la vision de paix que Carlia espérait tant pourrait être un minimum envisageable.

Lorsqu’elle posa sa main sur mon épaule je fus un peu surprise et je me rappelai la sensation étrange que j’avais ressentie à son contacte quelque instant avant. Cette chaleur et en même temps ce sentiment d’être comme liée me torturait de plus en plus car pour le moment aucune de mes questions n’avait encore de réponses.

- Tu n’as pas tort. Mais d’un autre coté c’était vraiment des véritables crétins, ils l’avaient bien mérités.

Je tournai mon regard vers elle puis lui adressa un sourire. C’est vrais que lui venir en aide ne m’avait pas déplus. Pour une fois que c’était moi la gentille de l’histoire. Cela me faisait rire intérieurement. Qui m’aurait dit qu’un jour je protègerais un chasseur, moi qui à passer des années à les fuir et à les tuer.
Cette école était en train de faire de moi une personne différente et j’avais beaucoup de mal à me reconnaitre quelque fois. Mais il faut que je me ressaisisse car seul un monstre peut tuer un autre monstre. Ressentir des sentiments humains me rendait faible et si j’étais ici c’est pour au contraire devenir plus puissante et dangereuse que ce que j’étais déjà.
Carlia avait quelque chose dans le regard qui était des plus merveilleux. Cette petit lueur de vie qui y reigner lui aller à la perfection. Admirant la jeune femme nous fumes interrompus car une sensation étrange m’envahie. Je me mis en alerte immédiatement.  Cette sensation qu’un danger s’approcher était des plus prenante. Ce n’était pas une bande d’idiot, mais quelque chose de bien plus dangereux.  Je lançai mon regard dans toute les directions puis aperçu au loin de la fumé. Ce n’était pas celle d’un feu de camp pas à cette ci de la journée, c’était un fumer noir et charger de douleur. Intriguer par ce qui pouvais bien si passer je pris un ton de plus sérieux et en même temps très perplexe.

- Il se passe quelque chose…

Je mis tous mes sens en éveille et écouta quelques gardiens courir en direction de la fumer. Leurs cœurs battaient très vites et cela n’était pas normal.

- Tu devrais rester ici je vais aller voir ce qui se passe…

Ma curiosité était à son apogée et quoi qu’il pouvait se passer là-bas je ne souhaitais pas que Carlia soit par mes garde blessé.  

Carlia avait décidée de m’accompagner voir ce qu’il pouvait bien se tramer un peu plus loin. J’aurais pu la contraindre à rester ici et à attendre mais elle s’emblait déterminer et venir.

-Très bien alors allons découvrir pourquoi il y a t’en d’agitation.

Nous traversons l’académie pour enfin arriver devant l’entrée principale de l’établissement.  Il y avait un grand portail en fer forgé qui nous permettait d’entrer ou de sortir de l’école.  C’était ce que l’on appelle aussi l’entré d’honneur. Quelques gardiens se tenaient dressés devant celui-ci comme si quelque chose essaye de pénétrer dans l’école. Un grand bruit résonna comme si on essayer de perforer la protection magique qui entourer l’école. La fumé qui était noir et recouvrait peu à peu le ciel, empêchant les rayons du soleil pénétrait, provenait de l’autre côté du portail. Il m’était impossible de voir ce qui se passer exactement alors j’utilisai mes capacités de vampire pour déchiffrer ce qui se tramer. A l’odeur je pouvais en déduire que le sang couler et au son des battements de cœur que c’était des humain qui essaye de forcer le passage. Autrement dit un petit groupe de chasseur avait réussi à atteindre l’académie et essayé d’y pénétrer pour surement faire quelque victime. Certain personne ne voyait pas d’un très bonne œil le regroupement en masse de plusieurs espèces dans un seul bâtiment et essayé a tout pris de détruire l’établissement et tout ce qu’il représentait.
Je m’approchai un peu plus Lorsqu’un gardien nous fi signe de nous éloigner. Je regarde Carlia afin de m’assurer qu’elle va bien.

- Encore des humains mécontents. Lui dis-je sur un ton un peu blasé.

Ils n’étaient pas les premiers à essayer mais cette fois si ils étaient encore plus bête que tous les autre avant eu. Je levai mon regard vers le ciel qui était noir comme si la nuit venait de se lever.

-Les idiots ils vont se faire tuer avant même que l’on ne les dissuade de partir.

Étant vampire si je sortais de l’école lorsqu’il fait jours je risquer de bruler et de mourir, mais avec cette épaisse fumer noir je ne risquais absolument rien. Donc si on suit cette logique si un vampire pouvais sortir de l’école sans bruler qu’est ce qui empêcher les darkangels de sortir de leur trous pour venir les massacrer voir même s’en prendre à nous.

Je suis Marion vers le danger, guidée par mon simple instinct de chasseur. Parfois, je trouve cela tellement étrange d'avoir le sentiment de devoir protéger les espèces les unes des autres lorsqu'en réalité, je suis née pour tuer.

J'entrevois les humains non loin de mal et mon cœur se met à battre à tout rompre. Ici, nous sommes bercés dans l'illusion que tout va bien et que tout le monde peut vivre en paix mais dehors, ce n'est en rien ça. Dehors, les espèces s'entretuent et se haïssent. Suis-je moi aussi, condamnée à haïr ? Je baisse les yeux, mais je suis vite rattrapée par la réalité. Je brandis l'arme dans mon dos. A priori, elle ressemble tout d'abord à un semble petit bâton, mais lorsque cette arme ressent ma peur, elle se déploie en un long bâton fin où une faux s'élève à l’extrémité.  On appel cette arme l'Artémis.

Je ne sais pas quoi faire. Je ne sais pas qui protéger. Je ne comprends pas pourquoi ils font cela.

Ce que je sais, c'est que personne ne mérite de mourir ou d'être tué par qui que ce soit. Je prends une profonde inspiration et je m'approche de Marion.

Je ne peux pas les laisser se faire saigner.

Je serre mon arme au creux de ma main et je toise l'horizon. Les minutes passent et je m'éternise, comprenant les risques que cela encoure de sauver une bête d'idiot, me mettre en danger et même mettre en danger Marion. La vie est parfois faîtes de choix cruels.

Carlia était une jeune femme étonnante.  Devant une bande d’abruti pas fini elle ne riposte pas et se laisse marcher dessus, mais pour sauver des innocent en danger, bien d’idiot eux aussi elle n’hésite pas à passer à l’action quitte à mètre sa vie en danger. Je tendis mon bras devant elle pour lui barrer la route afin qu’elle n’approche pas plus. La fumer avait entièrement recouvert le ciel et faisait maintenant place à l’obscurité. Je sentais le danger se rapprocher de plus en plus. L’air ambiant devenait de plus en plus glacial comme si toute la vie sur terre venait de disparaitre.

« Attend Carlia je ne suis pas sûr que ce soit judicieux d’intervenir. » Tout mes sens étais en éveille tel un animal prêt à se battre pour sa survie. « Ils sont tout près, je peux les sentir. D’autant plus que les gardiens sont là pour s’occuper d’eux. »

Il y avait deux trois gardiens qui essayait t’intervenir temps bien que mal, mais nous n’avons pas le temps de finir que les darkangels venue en petit groupe étaient déjà passé à l’attaque pour tuer ses idiots. Aussi tôt les gardiens sortir de l’académie pour leur venir en aide mais il était claire qu’ils étaient en sous-effectif et qu’ils étaient loin de s’en sortir indemne. Je savais que mon bras n’empêcherait pas Carlia de passer si l’envi lui en prenait mais, je doute fort que cela soit une bonne idée bien que les gardiens semblé avoir besoin d’aide. Les cris de paniques se firent de plus en plus entendre et bien que d’ordinaire j’aime les entendre, quand cela son provoquer par des drakangels cela ne me plais pas du tout.