J’étais soulagé qu’on s’en soit finalement sortie. Mais nous devons maintenant cacher nos preuves de notre présence sur le paquebot. Je souris à Marion, lui caressant la joue. J’embrasse son front et pose le mien contre le sien. Je soupir de soulagement.

Je vais bien, maintenant faut cacher les corps. J’ai une idée. Comme on ne peut pas rester sur ce bateau, on va voler un canot de sauvetage et on emporte les corps avec nous. Ils croiront alors que deux de leurs matelots se sont enfuis. On leur volera des trucs comme preuve de leur départ. Il nous faut aussi du sang mon amour. J’espère qu’ils en tiennent à l’infirmerie.

Je retourne aux couchettes et je vais chercher nos deux victimes, les trainant avec chacune de mes mains, pendant que Marion nous cherche du sang en poche. Je l’attends par la suite au canot de sauvetage. Nous finirons le trajet autrement. Par chance que nous avons ce lien entre nous maintenant. Je pouvais rester aux aguets.

Je n’ai eu qu’à attendre Marion que 10 minutes, avant qu’elle ne me rejoindre. Pendant un moment, j’ai eu peur, lorsque j’ai sentis sa nervosité, alors que je compris par la suite qu’elle avait utiliser son pouvoir de persuasion pour contraindre quelqu’un sur le bateau. J’étais soulagé qu’elle ne l’ait pas tué. Je lui souris et lui rends son baiser.

C’est bien, ça devrait nous prendre 3 jours, si on rame assez vite avant d’arriver au rivage.

Je caresse sa joue et je prends sa main et en comptant jusqu’à 3, nous sautons avec grâce dans le canot sans faire de bruit. La hauteur du paquebot aurait forcé les marins à s’assoir dedans, avant de les descendre à l’eau. Pas avec moi, j’ai descendu le canot d’abord. Nous ramons le reste de la nuit avant que je me débarrasse des corps dans la mer. Ils seront retrouvés par leur navire dans quelques heures. Je regarde Marion, alors que nous naviguons depuis deux jours. J’avais beau être un vampires, mes bras commençaient à se fatiguer à force de ramer. C’était sans doute son cas à elle aussi.

Ça va mon ange? Tu veux qu’on prenne une pause? On est de 4 heures à l’avance.

Je savais qu’elle avait besoin de cette pause, tout comme moi J’en avais besoin. Je lui souris et pose mes rames dans le fond du bateau. Je m’avance doucement vers elle, pour nous éviter de nous faire chavirer. J’attrape son visage entre mes mains et je l’embrasse avidement, caressant ses joues. Je lui souris par la suite, la regardant dans les yeux.

Je sais que tu en mourais d’envie et oui, je vais bien, les bras fatigués, mais je vais bien.

Je me remets à ma place du départ. Pour nous éviter un débalancement du canot. Je savais comment l’occuper. Devant elle, la regardant, je défaits ma ceinture et déboutonne mon jeans. J’enfouis ma main dans mon caleçon et je commence à me caresser juste pour elle. Je ma main libre, je déboutonne, un à un, les boutons de ma chemise. Lui dévoilant mon torse imberbe. Je sais à quel point elle aime le regarder.

Tu aimes ce que tu vois?

Je me mords la lèvre et je continue de me toucher dans mon pantalon. J’aime la voir imaginer ce que je fais à l’intérieur de ce pantalon. Qui sait, peut être que je finirai par lui faire prendre l’air.

Je la vois rougir à se que je fais. Mais, je n’arrête pas pour autant de me caresser. Ma verge durcie de plus en plus. Je la regarde intensément, me mordant la lèvre. Je sais ce qu’elle ressent, le bien être que je ressens à me caresser. Je passe mon pouce au bout de mon sexe. J’étais humide. Et je suis sur que dans sa petite culotte elle l’était aussi.

Je suis heureux que ça te rends folle ce que je me fais.

Je sors ma main de mon pantalon, montrant la bosse dans celui-ci. Je retire ma chemise. Et je remets ma main dans mon caleçon, continuant de me caresser, finissant par lui faire prendre l’aire. Dressé, droit devant elle. Elle l’appelle. Je me l’agite, souriant. Et je finis par lâcher mon membre, le laissant à l’air. Dresser vers elle, gonflé par l’excitation que je me suis procuré. Je la regarde.

Avoue que tu as envie de la toucher?

Je souris en coin. Jamais je n’avais fait ça avant. Je me demande si c’est pas ce lien entre nous qui me fait faire cela. J’adore cette sensation dupliqué entre nous. J’aime la voir s’exciter à ma vue.

Je voyais à quel point elle avait envie de me rejoindre. Je la voyais se dandiner sur son banc. J’aimais la faire attendre. Je prends mon sexe en main et je recommence ma caresse. Je la regardais se trémousser, cela m’excitait encore plus. J’active ma main plus rapidement. Je me demande si je devais venir comme ça ou m’autoriser à venir en elle.

Viens t’empaler sur moi.

J’arque un sourcil, cessant l’agitement de ma main sur ma verge. Je la regarde se mordre encore plus la lèvre. Je la regarde se décider à retirer que le bas de ses vêtements et commencer à s’avancer vers moi. J’étais excité à l’idée de venir en elle. J’en avais besoin. J’aimais quand on ne faisait qu’un. Je l’aimais elle. Je ne voudrais jamais la perdre.

La voila qu’elle me met en bouche. J’ai du me retenir pour ne pas me déverser dans sa bouche. Je souffrais littéralement, elle se vengeait de ce que je venais de lui faire subir. Mais elle fini par s’empaler sur moi. Mes mains se portent à ses hanches et j’avance mon visage pour l’embrasser. Elle s’élança doucement sur moi. Je me retenais pour ne pas venir, de suite, en elle. Je plonge mon regard dans le sien.

Tu me fais du bien.

Je caresse ses hanches. Ses caresses à mes fesses m’excitaient encore plus. Je l’embrasse sans cesse. J’attrape aussi ses fesses pour les caresser. Je me retenais toujours. Mais cette fois ci, avec vraiment beaucoup de difficulté. Je voulais qu’elle profite de moi. Alors je ne pouvais pas me lâcher, pas encore.

Ce n’était pas facile de se retenir, alors qu’elle me demande de ne pas me gêner de me relâcher. Je voulais juste qu’elle profite de nos élancements avant que je ne vienne en elle. Parce que je l’avoue, j’aurais jouis dès qu’elle se serait empalé sur moi si je ne m’étais pas retenu. Je lui souris. Et attrape sa lèvre supérieure et la mordille doucement. Du sang s’en écoula, je le tète et j’active ma langue à la sienne et de plusieurs coups de reins rapides en elle, je me déverse dans son intimité, gémissant son prénom.

Marion… ma princesse…

Je prends son visage dans mes mains pour caresser ses joues. Je me colle plus contre elle, donnant de derniers coups de reins finissant de me vider. Je l’entends jouir avec moi et en même temps que moi. Ma langue danse de nouveau avec la sienne. Mon sexe s’enfonce profondément en elle pour finir cette danse sexuelle. Je pose ma tête dans le creux de son cou. Je caresse son dos du bout de mes doigts. Je relâche mon corps, me décollant quelque peu d’elle.

Chaque fois c’est magique.

Nous le faisons tellement peu que chaque fois que nous nous y mettons, c’est chaque fois une nouvelle première fois. Tellement nous sommes en manque l’un de l’autre. Je préférais une relation de la sorte que de nous aimé chaque soir. C’était plus que du bonbon, chaque fois que nous faisions qu’un.

Voilà un truc à lequel je n’avais pas pensée. Notre retour à l’académie. On va faire comment? Je la soulève pour l’oter de sur moi. Je range mon sexe dans mon pantalon. Je lui laisse le temps de se replacer à sa place et prendre ses rames.

Je sais, moi aussi je trouverai sa dur mon amour. Surtout après l’aventure que nous vivons. On a jamais été aussi longtemps ensemble.

J’avais pris gout à cette vie toute nouvelle. Mais pourtant, nous pourrons vivre notre vie que lorsqu’elle aura fini ses études. Personne ne pourra plus rien contre nous. Je reprends mes rames et on se remets à ramer, pour atteindre le rivage de la Norvège dans deux heures. Je la regarde. Je lui avais mentis sur un seul point. Celui que mon père, c’est Marion qu’il veut tuer. Pour la seule raison que si elle et moi on s’unis, ça fera de nous la plus puissante famille de vampire. Il ne veut pas ça. Il veut être le chef. Mais si Marion et moi on s’unis, ce sera notre famille qui sera puissante. Comment lui en parler?

Nous arriverons dans deux heures mon ange, tiens bon.